25-26 juin / 1-2-3 juillet / 8-9-10 juillet

Festival
de l’image
Stavelot




ARTISTES

Lyoz Bandie
Damien Caumiant
Anne Chopard
Olivier Cornil
France Dubois
Expos Collectives
Rich-Joseph Facun

Lara Gasparotto
Anne-Sophie Guillet
Phillipe Herbet
Marine Lanier
Youqine Lefèvre
Jonas Luyckx
Chrystel Mukeba
Sébastien Roignant
Axel Tihon
Harm van de Poel
Marc Wendelski



S’échapper. Sortir de l’apnée.

Cet été, nous proposons au public un tout nouveau rendez-vous. Un Festival de l’image qui aura pour thématique : Ancrage(s). Ce projet propose d’aller voir plus loin. Ou plus près, en fait. Chez lui. Chez nous. Nous l’avons construit comme une histoire belle, plurielle, douce.

Le temps d’une promenade, à travers la ville, nous vous invitons à la rencontre d’une série d’artistes, entre expos intérieures et expos à ciel ouvert, à la curiosité de l’autre, à sa diversité, à ses richesses. À chercher le murmure, la beauté, dans la simplicité.

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CONTACT
Quai des Vieux Moulins 69
4970 Stavelot
infos : festival.image.stavelot@gmail.com

Expositions visibles de 10h à 20h

Prix libre




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BALADE EN EXTERIEUR

The History of Seein


Lara Gasparotto possède un talent brut, d’une spontanéité sans égale, mais dont la justesse et la force étonnent et prennent au dépourvu.

Diplômée en photographie de l’École supérieure des Arts Saint-Luc à Liège, elle affirme depuis quelques années un tempérament qui cherche, non pas des réponses, mais à saisir l’instant de la beauté, l’amour, l’essence du féminin ou encore la sauvagerie de la nature, par définition éphémères, inatteignables et fragiles.
Ce mouvement, débridé et assuré à la fois, génère la vitalité du travail de l’artiste dont le style ne s’abîme ni dans une fraîcheur naïve ni dans de savants calculs d’effet. Traversant les codes et les techniques avec une souplesse sans complexe, Lara Gasparotto a déjà à son actif une belle série d’images fiévreuses, captées dans son quotidien ou plus subtilement mises en scène.  Anne-Françoise Lesuisse.



Olivier Cornil
Dans mon jardin les fleurs dansent est une série entamée il y a quelques années, à Bugeat, en Corrèze, où ma mère a décidé d’aller vivre. C’est l’histoire simple, mais comme beaucoup d’autres pas toujours facile, d’une femme, d’une mère, de liens, de ruptures, de deuils et d’envies. De résignations et de renouveau, de souvenirs, de pleurs et de rires. Des images de là-bas et des textes d’ici.
Une histoire hier douloureuse, belle aujourd’hui. Olivier Cornil livre ici le résultat d’un travail très personnel à propos de sa mère et de la vie de famille, mené en Corrèze entre 2002 et 2018, aussi près des gens que des choses et du paysage.



France Dubois explore sans relâche les territoires de l'intime.

Entre rêve et réalité, visible et invisible, la frontière est infime, presque transparente, comme un fil tendu entre deux univers. Un rien peut faire basculer les individus sur l'autre rive, dans d’autres mondes.

En mettant en images les fluctuations de nos vies, celles qui éprouvent notre capacité à passer d'un état à un autre, qu'il s'agisse de l'adolescence, des relations avec l’autre, de l'absence, de l'Histoire ou de la maladie, la photographe explore notre capacité à transcender nos fêlures pour en sortir grandis, comme un éternel recommencement. La disparition y est plus douce entourée de lumière, la maladie devient œuvre d'art, la mélancolie se transforme en pure énergie, moteur de la créativité.
La force de France Dubois réside dans le choix d'une photographie épurée, à l'esthétisme affirmé. Les personnages y apparaissent connectés à leur environnement, comme si la nature leur permettait de trouver la force nécessaire pour dépasser ces moments de doutes. S'y reconnecter, s'y abreuver comme à une source originelle, régénérante, symbole d'une renaissance. En tissant une histoire universelle à partir de son regard personnel, presque impudique, ses photographies reflètent nos vies intérieures, avec justesse et poésie.


Sébastien Roignant
De plus en plus, nous ressentons le besoin de nous rapprocher de nos racines et de la Nature. Ce retour aux sources semble être la bonne solution pour se protéger de notre société actuelle trop rapide, trop bruyante, trop folle, trop destructrice. Il est maintenant temps de se retrouver, de s’y reposer, de s’y ressourcer, de trouver le calme et la sérénité tant recherchée.
Cette nature que l’on nous vend comme belle et rassurante, si l’on regarde d’un peu plus près, ne l’est pas. Passé ce moment de plénitude et de silence, elle apparaît dangereuse, inhospitalière, inadaptée pour nous, êtres humains, qui ne sommes plus en communion avec elle.

Par cette série, je voulais moi-même retourner à l’exploration de ces endroits magnifiques où personne ne met les pieds, découvrir les plus beaux, les plus atypiques paysages que la nature peut offrir. Je me suis émerveillé devant la force des cascades, la beauté enchanteresse des forêts de mousse et le plaisir de sauter de rocher en rocher. En ayant toujours à l’esprit, ce sentiment que, dès qu’elle le voudrait, au moindre pas de travers, cette si belle Nature pouvait ne pas me laisser repartir.
Citadin depuis très longtemps, je m’interroge sur ma place d’être humain dans la société actuelle. C’est une question maintes et maintes fois posée mais j’ai ce besoin de trouver une réponse, de trouver ma réponse.
Anne-Chopard
Travailleuse sociale et artiste intervenante auprès de personnes isolées, Anne s’intéresse avant tout à l’autre, à l’humain-e. On le remarque dans ses clichés, sa priorité est d’immortaliser la sincérité et la poésie de chacun-e de ses différents modèles. Elle met également son travail au service de particulier, d’entreprise et réalise des clips pour des groupes de musique.


Axel Tihon est né à Bruxelles. C’est un artiste qui aime la musique et les concerts. Ses premières photos, il les a prises lors d’un concert de Claude François. Il a par la suite réalisé des photos de Queen, Diana Ross, mais aussi Marka ou encore Allez Allez. Il travaille par ailleurs régulièrement avec Typh Barrow.

LA MENUISERIE

Scarlet Runners



Née en 1981 à Valence, Marine Lanier vit et travaille entre Crest et Lyon. Après des études de géographie, lettres et cinéma, elle est diplômée de l’École Nationale supérieure de la Photographie en 2007. Aujourd’hui, elle est représentée par la galerie Jörg Brockmann (Suisse). Elle expose son travail en France et à l’étranger. En 2016, elle publie une monographie de son travail aux éditions Poursuite, Nos feux nous appartiennent, accompagnée par un texte de l’écrivaine Emmanuelle Salasc-Pagano.
En 2023, une nouvelle monographie sera publiée chez le même éditeur, Le Soleil des loups, accompagnée parun texte de l’écrivain américain Rick Bass. Elle a été lauréate en 2018, d’une bourse du CNAP pour le projet Les Contrebandiers. Elle poursuit actuellement cette série dans les Pyrénées avec le soutien de la résidence 1 + 2, du Centre Photographie de Lectoure, du Bus culturel et de la Maison des écritures de Lombèze. Elle travaille parallèlement sur son projet Le Jardin d’Hannibal dans le cadre de la commande Radiososcopie de la France de la BNF.

Copyright : extrait de la série Les contrebandiers, 2020, réalisée dans le cadre de la commande Flux une société en mouvement du Cnap.




Anne-Sophie Guillet


Anne-Sophie Guillet est née à Oxford en Grande-Bretagne. Elle a obtenu un master en arts visuels et photographie à l’Académie Royale des Beaux-arts de Bruxelles en 2013. Son travail a été montré en Belgique et à l’international notamment à Contretype (BE), Salon de Montrouge (FR), Wiels (BE), MOPLA (US), Portrait Hellerau Photography Award (DE). Ses séries tournent autour des sujets tels que l’identité et les remises en causes sur les injonctions sociales.
La série Inner Self est axée sur les apparences et l’identité en réalisant des portraits de personnes à apparence androgyne dans le but de questionner la dichotomie des genres et des roles que la société assigne. Son premier livre Inner Self est paru en 2019 avec l’éditeur Japonais Case Publishing. Le lancement du livre a eu lieu à Tokyo simultanément avec un solo show à la galerie Poetic Scape. Actuellement Anne-Sophie Guillet poursuit sa série en cours Together autour des relations et amours qui sortent du carcan de l’amour romantique hétéronormatif.


Originaire de Tours en France, Lyoz Bandie (1994) y étudie le droit pendant plusieurs années avant de venir s’installer en Belgique pour entamer des études artistiques. Iel est diplômé.e avec grande distinction de l’Ecole Supérieure des Arts Saint-Luc de Liège en 2021 et publie en autoédition son premier livre I don’t have a name temoin de la quête de son nouveau prénom.
Jeune photographe queer, Lyoz questionne le genre dans un cheminement éclectique et pluridisciplinaire. Une recherche sensible à de nouvelles libertés.


Born in 1978 in Belgium, Marc Wendelski studied photography at the ESA Saint-Luc in Liège. His work is divided between his own creation and a work of support and prospecting for other photographers (BIP – Liège, Galerie Satellite…).
He’s also teacher of photography at the ESA Saint-Luc since 2015. His work has been exhibited, among other places, at the musée de la Photographie in Charleroi and at the FOMU in Antwerp.




Jonas Luyckx est né en 1979. Après des études en Arts plastiques, il travaille pendant plusieurs années dans le cinéma de fiction et documentaire comme assistant caméra, électro, machino, constructeur ou encore ripper avant de créer en 2005 sa propre structure de production La Film Fabrique. Pendant 7 ans, il développe divers projets tant comme producteur que comme réalisateur. Fiction, clip musical, projets pédagogiques, portraits d'artistes, il tente toujours de donner une forme particulière à ses productions.
Il rejoint le label les Paracommand'art en 2009 et développe une expertise dans des projets interdisciplinaires menés avec des non-professionnels dans le domaine socioculturel. Durant cette période, il collabore étroitement avec l'artiste plasticien Werner Moron sur l’œuvre de ce dernier et focalise son travail vers des œuvres hors normes entre les formes.

LA BERGERIE

The Other Manifesto



Youqine Lefèvre (1993, CN) est une artiste visuelle belge vivant et travaillant actuellement à Namur. Après un Bachelor en Arts Visuels à l’ERG (Bruxelles), elle a continué ses études en photographie à l’École Supérieure d’Arts Appliqués de Vevey (CEPV, Suisse) et a ensuite obtenu un diplôme de Master en Arts Visuels à la Konijnkelijk Academie voor Schoone Kunsten (KASK, Gand). Sa série Far from home lui a permis d’être sélectionnée au festival Voies Off 2016 (FR), d’être finaliste au vfg Nachwuchsförderpreis für fotografie 2016 (CH) ainsi qu’aux Propositions d’artistes 2017 (Contretype, BE) et d’être la lauréate du Prix PhotoforumPasquArt SELECTION | AUSWAHL 2016 (CH), de la Bourse du Talent #70 Portrait 2017 (FR) et du Prix Focale – Ville de Nyon 2017 (CH).
Son travail The Land of Promises lui a permis de remporter le troisième prix du Kassel Dummy Award 2020 (DE), d’être lauréate du prix Horlait-Dapsens 2020 (KASK) et d’être sélectionnée à reGeneration4 au Musée de l’Elysée (Lausanne, CH), au .tiff 2020 (FOMU, BE), pour le MACK First Book Award 2021 (UK), le LUMA RENCONTRES DUMMY BOOK AWARD ARLES 2021 (FR), à Plat(f)form 2022 (Fotomuseum Winterthur, CH), et au festival Les femmes s’exposent (Houlgate, FR). Son travail a notamment été publié dans le magazine M le Monde, VICE, Médor et le British Journal of Photography.


Rich-Joseph Facun is a photographer of Indigenous Mexican and Filipino descent. His work aims to offer an authentic look into endangered, bygone, and fringe cultures—those transitions in time where places fade but people persist.

The exploration of place, community and cultural identity present themselves as a common denominator in both his life and photographic endeavors.

Before finding “home” in the Appalachian Foothills of southeast Ohio, Facun roamed the globe for 15 years working as a photojournalist. During that time he was sent on assignment to over a dozen countries, and for three of those years he was based in the United Arab Emirates.
His photography has been commissioned by various publications, including NPR, The Atlantic, The New York Times, The Wall Street Journal, The Associated Press, Reuters, Vox, Adweek, Education Week, The Chronicle of Higher Education, The FADER, Frank 151, Topic, The Guardian (UK), The National (UAE), Telerama (France), The Globe and Mail (Canada) and Sueddeutsche Zeitung (Germany), among others.

Additionally, Facun’s work has been recognized by Photolucida’s Critical Mass, CNN, Juxtapoz, British Journal of Photography, The Washington Post, Feature Shoot, It’s Nice That, The Image Deconstructed, The Photo Brigade, Looking At Appalachia, and Pictures of the Year International.



 
Chrystel Mukeba prélève et donne à voir les fragments intimes d’un quotidien qui semble s’écouler hors du temps. On s’y glisse à pas feutrés, page après page, entre bruissements et murmures.

Dans l’attention particulière portée aux plus petits détails, on croit lire le désir de la photographe de troquer ses yeux pour ceux de l’enfance. S’ils apparaissent parfois clos, se soustrayant au regard, ou parfois même implorants, ce sont ces mêmes yeux qui font advenir de toute chose un évènement. A leur contact, une coquille d’escargot logée au creux de la main, un refet dans l’eau, ou simplement les taches de soleil dansant sur le mur deviennent source d’enchantement. La poésie du détail qui s’esquisse dans ces tous petits riens a le prodigieux pouvoir de raviver, en sollicitant nos sens, des émotions enfouies dans notre mémoire.



Saisir la grâce fragile et fugitive de ces précieux instants semble relever d’une quête d’éternité dont la photographie se fait souvent l’instrument. Peut-être l’acte

d’enregistrement trahit-il ici précisément la peur de la perte. Car parmi les vivants, s’invite aussi la marque d’une absence. On en guette la présence indicible dans les ombres portées, les voiles de brumes ou les halos de lumière blanche. Elle signe en creux cette irrépressible envie de fxer dans la durée le cours éphémère des petites choses de la vie, de suspendre enfn le temps et même peut-être de rêver follement à le vaincre.

Marie Papazoglou, curatrice
LA SALLE DES GARDES (ABBAYE DE STAVELOT)



Philippe Herbet : Albert Dadas

Dis-moi qui tu hantes…

Qui fut — ou qui est — Albert Dadas? Peut-être un énigmatique voyageur, l’un des premiers « dromomanes » diagnostiqués à la fin du XIXe siècle: en cette période des nations et des frontières, zébrée par les vagabondages en tous genres, ce modeste employé du gaz bordelais est atteint d’un « automatisme ambulatoire » qui le mène, longuement ou brièvement, de Valenciennes à Moscou (via Liège!), de Prague à Varsovie, de Berlin à Minsk. Un aventureux plus qu’un aventurier, qui trébuche et se relève, d’une main laisse des traces, de l’autre les efface.

Qui est — ou qui fut — Philippe Herbet? Peut-être un artiste itinérant, prétendument né à Istanbul en 1964. Il photographie, écrit beaucoup — dessine un peu, depuis quelque temps. Lui aussi sait l’art de la fugue: les siennes l’ont souvent mené vers l’Est (Russie ou Biélorussie) ou aux portes de l’Orient (Turquie, Arménie, républiques du Caucase); elles ont régulièrement déjà donné lieu à des publications en volume, mêlant volontiers texte et image.

Se pourrait-il que ces deux-là ne fassent qu’un (et, ajouterait le moraliste anglais, si oui, lequel)? Herbet-Dadas, c’est tout un; ou du moins cela a-t-il tendu à le devenir. Car dans cette histoire de duo comme dans toutes, qui s’empare de qui, en définitive? Enquête ou délire, souvenir et projection, dérive et obsession, fiction personnelle et documentaire anachronique, le projet
« Dadas » mêle en cours de route, et depuis bientôt cinq ans, photos d’époque et d’aujourd’hui, textes d’époque et d’aujourd’hui, guides touristiques ou témoignages spirites… signes, humeurs, réminiscences, scories. Les trajectoires s’emmêlent, les coïncidences se multiplient, de fulgurances en disparitions.
À rebours de lui-même, et des terrains familiers sur lesquels on croyait pouvoir l’attendre, Philippe Herbet partage une tentative qui n’est pas sans risque: quelque part entre la mise à nu et la dissolution complète de soi, une quête historique tout autant que spirituelle et psychologique, un voyage beaucoup plus intérieur que ses précédents. En temps de pose long, ses images mises en scène sont des autoportraits sans l’être: « Je suis son fantôme et il est le mien; je suis dans le cadre, à la fois son acteur et le mien. » Et si la beauté des femmes continue de jalonner et d’aimanter les déambulations méandreuses ou statiques du photographe, elle se fond à présent dans les tapisseries fanées, les paysages incertains, les photos déjà presque effacées — la neige blanche, les heures bleues…

La « disparition de soi » et la liberté de mouvement (des êtres, des peuples) ne sont-elles pas, par ailleurs, des problématiques très actuelles — autrement dit, tout autant tournées vers le passé que vers l’avenir?

Qui sait: voilà Herbet et Dadas reliés dans l’espace, et rattrapés par le temps. Par eux-mêmes.



Damien Caumiant

Aux confins du désert iranien se situe une terre magique, un lieu où se confondent monde terrestre et monde céleste. Les hommes qui y vivent vénèrent les éléments, en particulier le feu.

Cette terre à donné naissance à une flamme éternelle. Elle permet à l'homme de voir au-delà des ténèbres et de le guider dans l'obscurité.  

L'histoire raconte qu'au moment des invasions, le feu sacré fut sauvé et secrètement entretenu au fond d'une grotte pendant plusieurs siècles.

Quelque part au milieu du désert, la flamme brûle toujours.


Cet élément est au centre de cette série d'images qui tente de révéler la nature sacrée du paysage.

S'engager dans un espace libre et sans repère en s'affranchissant d'une quelconque limite, d'une trame prédéfinie ou des traces d’un homme.

Une lueur qui jaillit du fond d’une grotte, bénit un rocher, irradie une ville, éclaire une caverne, illumine les êtres et dévoile les traces d’un monde sensible, vulnérable. Théâtre sublime d’une terre imprégnée de ses mystères.

Mythe ou mirage? Quand le chemin s'efface, naissent les ombres et les illusions...

Ce travail est un conte mystique, une quête souterraine, avec sa foi pour moteur et sa flamme pour guide. Un hommage à la matière, aux éléments, à leurs symboliques et au pouvoir spirituel auquel ils font écho.



Harm van de Poel

L'artiste né aux Pays-Bas (1984) est principalement connu pour son approche romantique et philosophique. Influencée à la fois par la peinture et la photographie classique, l'approche de la photographie est principalement méditative et intuitive. Il utilise son art comme un pont auto-réfléchissant pour entrer en résonance avec les gens.
Après avoir voyagé pendant près de trois ans à travers le monde, il a décidé de démêler toute son auto-excavation et a commencé ses études à la Fotoacademie à Amsterdam, où il a finalement obtenu son diplôme avec mention. Harm vit et travaille actuellement à Haarlem, aux Pays-Bas.

Éducation : Diplômée avec distinction de la FotoAcademie Amsterdam (2014-2017).

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